Pourquoi c'est urgent ?
On ne peut travailler toutes ces années auprès des jeunes sans être alerté par le mal-être ambiant, et la méconnaissance des troubles psychiques génère stigmatisation et retard de prise en charge. Quand un adolescent ne reconnaît pas ses symptômes comme légitimes, il souffre en silence. Et pendant que la France peine encore à déstigmatiser la santé mentale des jeunes, d'autres pays comme le Canada développe une approche de sensibilisation et d'accompagnement permettant de lever les tabous et une meilleure perception des troubles mentaux, permettant ainsi la prise en charge par des professionnels compétents.
Des ressources gratuites en ligne
Pour aider les ados
Un podcast
Pour accompagner le jeune (et ses parents) dans sa prise de conscience et l'aider à verbaliser son mal-être.
Index des maux d'ados
Un dictionnaire présentant les maux les plus courant chez les ados et qu'il est important de nommer pour se soigner.
Des mots remèdes
Des ressources pour s'informer, aller mieux, prendre soin de soi et de toutes les dimensions de son être (coeur, corps, tête).
S'informer
Quelques chiffres
Si nous savons tous ce que c'est d'avoir 14 ans, bien peu ont une idée de ce que cela représente aujourd'hui dans le contexte actuel.
des français pensent que la santé mentale est essentielle
à leur santé.
des français n’osent pas parler de leur santé mentale par peur de ce que les autres pourraient penser.
des ados nécessitant un suivi psychologique banalisent leur mal-être.
Nos ressources
Plateformes, outils, textes !
Découvrir les mots remèdes
Soigner son mal-être grâce à des mots remèdes
Remplacer "Je suis fou" par "J'ai besoin d'aide" change tout, particulièrement à l'adolescence, période où se cristallisent souvent les troubles de l'âge adulte.
Sensibiliser, c'est outiller, et c'est devenu un enjeu de santé publique majeur, particulièrement auprès des adolescents. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 49% des 11-15 ans présentent des symptômes anxieux, 24% des lycéens ont eu des pensées suicidaires, et pourtant seulement 6% déclarent "ne pas aller bien". Ce décalage révèle une banalisation dangereuse du mal-être adolescent.